Étonnant, quand même, la mémoire.
Parfois, je me demande d'où viennent les souvenirs.
Pourquoi ils remontent à certains instants précis,
alors qu'en d'autres occasion, ça aurait été le néant.
En cette veille de Poisson d'avril, j'ai une pensée pour mon papa.
Je me suis souvenu d'une après-midi, à pareille date, il y a bien des années.
Il avait tracé des poissons sur du papier, qu'on avait ensuite découpé lui et moi.
Je me souviens précisément d'un poisson avec une épée au bout du nez...
On avait découpé, beaucoup, beaucoup de poisson.
On les avait planqué partout dans la maison.
Dans la farine.
Dans les vêtements.
Sous les assiettes qu'on sortait juste pour Noël.
Partout, partout.
Sans blague, on en avait eu pour des mois à en trouver partout.
Ça m'étonne, vraiment, cette faculté de se souvenirs.
Ça m'étonne encore plus parce que plus je vieillis, plus je me souviens de ce genre de moment.
De ce genre d'anecdotes.
Et c'est drôle, ça concerne très souvent mon père.
Adolescente, je pensais que je n'avais pas tellement de souvenirs heureux avec mon père.
Plus je vieillis, plus je réalise que c'est faux.
Mon père était là, à sa manière.
5 minutes avant la coupe...
Un poisson-épée dans un pot de cassonade...
Je t'aime, papa :)
lundi 31 mars 2008
samedi 29 mars 2008
Fille de hockey
Coucou !
Ce n'est pas un secret: j'aime le hockey.
J'écoute tous les matches depuis 6 ans.
Au moins.
Peut-être plus.
Vous le savez: je suis énervée comme ça ne se peut pas parce que le Canadiens est premier de la conférence... parce qu'à 4 matches de la fin, c'est de plus en plus certain que ce sera notre position pour amorcer les séries.
À force d'en parler, ici et ailleurs, j'ai décidé de mettre sur blog mes impressions sur la fin de la saison de hockey de cette année.
À compter de maintenant, vous pouvez suivre quotidiennement ce blog parallèle:
http://unefilledehockey.blogspot.com/
Parce que c'est rare...
Parce que c'est possible...
Parce que j'y crois...
Go Habs, Go !
Ce n'est pas un secret: j'aime le hockey.
J'écoute tous les matches depuis 6 ans.
Au moins.
Peut-être plus.
Vous le savez: je suis énervée comme ça ne se peut pas parce que le Canadiens est premier de la conférence... parce qu'à 4 matches de la fin, c'est de plus en plus certain que ce sera notre position pour amorcer les séries.
À force d'en parler, ici et ailleurs, j'ai décidé de mettre sur blog mes impressions sur la fin de la saison de hockey de cette année.
À compter de maintenant, vous pouvez suivre quotidiennement ce blog parallèle:
http://unefilledehockey.blogspot.com/
Parce que c'est rare...
Parce que c'est possible...
Parce que j'y crois...
Go Habs, Go !
mercredi 19 mars 2008
La "Floranerie" de la semaine...
lundi 17 mars 2008
Quelqu'un m'aime...
Ça fait drôle, de dire ça comme ça, mais quelqu'un m'aime, c'est certain.
Soit ça, soit je suis vraiment gentille et la Vie me le rend bien.
Je sais pas, mais ces temps-ci, les belles surprises tombent du Ciel.
Et vraiment, j'apprécie.
Sans que je demande...
Sans que j'ai d'attentes...
On m'envoie des images...
On me prête des choses...
On me donne des contacts...
Toutes les pièces du mariage se mettent en place toute seule...
Juste par le bouche à oreille.
À tout ceux qui me prêtent, donnent ou suggèrent des choses... Merci !
J'apprécie énormément votre aide.
Vous m'aider beaucoup, souvent avec quelque chose qui vous semble peu mais qui pour moi représente tant.
Je vous dit...
Quelqu'un m'aime !
Soit ça, soit je suis vraiment gentille et la Vie me le rend bien.
Je sais pas, mais ces temps-ci, les belles surprises tombent du Ciel.
Et vraiment, j'apprécie.
Sans que je demande...
Sans que j'ai d'attentes...
On m'envoie des images...
On me prête des choses...
On me donne des contacts...
Toutes les pièces du mariage se mettent en place toute seule...
Juste par le bouche à oreille.
À tout ceux qui me prêtent, donnent ou suggèrent des choses... Merci !
J'apprécie énormément votre aide.
Vous m'aider beaucoup, souvent avec quelque chose qui vous semble peu mais qui pour moi représente tant.
Je vous dit...
Quelqu'un m'aime !
mercredi 5 mars 2008
Je l'aime à mourir...
I was nothing before
Still I stand here today
As a keeper of dreams
'Till the night fades away
Je l'aime a mourir
You can tell me again
All the reasons to leave
But with a touch of her hand
She can make me believe
That I belong here
Yes, I belong here
Je l'aime a mourir
Not a moment ago
I was only a man
But she fills me with more
In the way no one can
Je l'aime a mourir
When she catches my eye
All the light from the sun
Seems to wither and die
Next to all she's become
I am without fear
And I would die here
Je l'aime a mourir
It isn't fair, you know
Why should I care?
There are a million just like me
It isn't fair, you know
Why should she care?
And live to be
The world to me
She is all I've become
She is all that I need
And she makes me feel one
With the air that I breathe
Je l'aime a mourir
Though sometimes we're apart
Though sometimes I'm astray
It's the beat of her heart
In the music I play
That keeps me sincere
Through all these long years
Je l'aime a mourir
I could cry for her eyes
Like a child in the cold
And I will live by her side
'Till the day I am old
Je l'aime a mourir
When you find someone strong
Someone inside your heart
And when she takes you beyond
"Until death do us part"
You'll know what I mean
Why I would die here
Je l'aime a mourir
It isn't fair, you know
Why should I care?
There are a million just like me
It isn't fair, you know
Why should she care?
And live to be
The world to me
I was nothing before
Still I stand here today
As a keeper of dreams
'Till the night fades away
Je l'aime a mourir
You can tell me again
All the reasons to leave
But with a touch of her hand
She can make me believe
That I belong here
And I will die here
Je l'aime a mourir
Still I stand here today
As a keeper of dreams
'Till the night fades away
Je l'aime a mourir
You can tell me again
All the reasons to leave
But with a touch of her hand
She can make me believe
That I belong here
Yes, I belong here
Je l'aime a mourir
Not a moment ago
I was only a man
But she fills me with more
In the way no one can
Je l'aime a mourir
When she catches my eye
All the light from the sun
Seems to wither and die
Next to all she's become
I am without fear
And I would die here
Je l'aime a mourir
It isn't fair, you know
Why should I care?
There are a million just like me
It isn't fair, you know
Why should she care?
And live to be
The world to me
She is all I've become
She is all that I need
And she makes me feel one
With the air that I breathe
Je l'aime a mourir
Though sometimes we're apart
Though sometimes I'm astray
It's the beat of her heart
In the music I play
That keeps me sincere
Through all these long years
Je l'aime a mourir
I could cry for her eyes
Like a child in the cold
And I will live by her side
'Till the day I am old
Je l'aime a mourir
When you find someone strong
Someone inside your heart
And when she takes you beyond
"Until death do us part"
You'll know what I mean
Why I would die here
Je l'aime a mourir
It isn't fair, you know
Why should I care?
There are a million just like me
It isn't fair, you know
Why should she care?
And live to be
The world to me
I was nothing before
Still I stand here today
As a keeper of dreams
'Till the night fades away
Je l'aime a mourir
You can tell me again
All the reasons to leave
But with a touch of her hand
She can make me believe
That I belong here
And I will die here
Je l'aime a mourir
Vous l'avez sans doute entendu au cours des dernières semaines ou des derniers jours... c'est la "nouvelle" de Jonas, la traduction d'une chanson de Cabrel "Je l'aime à mourir"...
J'en parle, parce que je l'écoutais ce soir dans la voiture et je me faisais la réflexion d'à quel point les mots n'ont pas la même saveur dans une langue et dans l'autre...
Autant je trouve la chanson belle et imagée en français, autant en anglais, les paroles me semblent plus "régulières". Presque "ordinaires". Certes, ça reste très beau, mais pas "aussi beau" qu'en français. C'est plus froid, moins coloré, moins imagé, moins riche...
En fait, j'essaie de me prouver quoi, là ?
Que j'aime mieux la version de Cabrel, j'imagine... ;)
J'en parle, parce que je l'écoutais ce soir dans la voiture et je me faisais la réflexion d'à quel point les mots n'ont pas la même saveur dans une langue et dans l'autre...
Autant je trouve la chanson belle et imagée en français, autant en anglais, les paroles me semblent plus "régulières". Presque "ordinaires". Certes, ça reste très beau, mais pas "aussi beau" qu'en français. C'est plus froid, moins coloré, moins imagé, moins riche...
En fait, j'essaie de me prouver quoi, là ?
Que j'aime mieux la version de Cabrel, j'imagine... ;)
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir
Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir
lundi 3 mars 2008
Quand même...
Presque par coïncidence, parce que j'en ai parlé à quelqu'un, j'ai retrouvé des poèmes que j'ai écrit pendant mon secondaire. Je dois admettre (en toute modestie, ahah) que j'étais pas pire, quand même, pour 16 ans...
Artiste de Hasard
Son histoire commence
Tout en haut
De la grande page blanche
Puis
De graffitis
En poésie
Il s'encre
Au parchemin de la vie
Ses mots
Sont empreints de sang
S'il sont beau
C'est qu'il a peur
Par en-dedans
"Barbouilleur!
Fou! Rêveur !"
Disent les gens
Mais lui seul connaît
La saveur de ce qu'il fait
Et quand un jour
Sonne son heure
Son histoire s'achève
Mais il demeure
Immortel
Ses pas encrés au parchemin !
Artiste de Hasard
Son histoire commence
Tout en haut
De la grande page blanche
Puis
De graffitis
En poésie
Il s'encre
Au parchemin de la vie
Ses mots
Sont empreints de sang
S'il sont beau
C'est qu'il a peur
Par en-dedans
"Barbouilleur!
Fou! Rêveur !"
Disent les gens
Mais lui seul connaît
La saveur de ce qu'il fait
Et quand un jour
Sonne son heure
Son histoire s'achève
Mais il demeure
Immortel
Ses pas encrés au parchemin !
dimanche 2 mars 2008
Vrai de vrai !
C'est vrai !
Vrai de vrai !
Le CH est en tête du classement dans l'Est.
La première place...
Les premiers...
LA TÊTE DU CLASSEMENT !
La dernière fois que c'est arrivé, c'était quand ???
Hein ???
J'vais vous le dire, moi...
1993 !
Et cette année là...
LA COUPE !
Sérieusement, je me suis retenue pour pas pleurer hier à la fin du match ! Avoir été chez nous, j'aurais braillé, juré craché... mais là, j'étais èa la Cage aux Sports... ahah
C'est juste un point devant l'adversaire, mais le chiffre est là pareille !
Go habs goooooooo !
(note: je suis À PEINE émouvue ahahah)
Vrai de vrai !
Le CH est en tête du classement dans l'Est.
La première place...
Les premiers...
LA TÊTE DU CLASSEMENT !
La dernière fois que c'est arrivé, c'était quand ???
Hein ???
J'vais vous le dire, moi...
1993 !
Et cette année là...
LA COUPE !
Sérieusement, je me suis retenue pour pas pleurer hier à la fin du match ! Avoir été chez nous, j'aurais braillé, juré craché... mais là, j'étais èa la Cage aux Sports... ahah
C'est juste un point devant l'adversaire, mais le chiffre est là pareille !
Go habs goooooooo !
(note: je suis À PEINE émouvue ahahah)
S'abonner à :
Messages (Atom)