Mais oui !

À 2 jours de ma date prévue d'accouchement, je suis toujours là, à attendre que mon petit capricorne décide de sortir de sa cachette. Il n'est pas pressé, ça c'est sûr ! Physiquement, ça va, je pourrais tenir encore un mois... mentalement, c'est plus dur. Ma tête et mon coeur sont épuisé d'attendre...

On s'apprête à (ne pas) célébrer le Nouvel An en famille. Rien au programme, sinon une soirée télé... Pas de grand festin, pas de réveillon dans la parenté, pas de champagne. Une petite soirée tranquille devant la télévision, avec "peut-être" un verre de moût de pomme si on arrive à ne pas s'endormir d'ennui avant minuit.

Bonne et heureuse année 2009 quand même...

;)

Joyeux Noël !

Un peu en retard, mais quand même ;).

Non, non, ce n'est pas parce que bébé est arrivé que je suis en retard dans mes souhaits. C'est le temps, tout simplement. Avec tout ce que les enfants ont reçus en cadeau, il a falu que je fasse un bon ménage pour que l'appartement soit habitable. Cette année, on ne peut pas se permettre d'accumuler le bordel... en tous cas, pas tant qu'on aura pas accouché !

On a tous été pas mal gâté... trop de cadeaux pour tous les nommer, la liste n'en finirait plus ! On a eu un beau réveillon, plutôt calme mais tellement plus agréable qu'un gros bain de famille. On a passé la soirée chez Benoît avec mes soeurs, mon demi-frère, ma demi-soeur et sa petite famille... Probablement le Noël le plus sympatique des 10 dernières années, sans farce :).

Il n'y a rien au programme pour le reste de la semaine. On ne va pas à Québec chez ma grand-mère le 27 (on va devoir se passer de sa bonne tourtière, *snif snif*) ni chez mon père le 31 décembre. À cause de notre futur petit capricorne, of course ;). Même en accouchant aujourd'hui, ça ne me tenterait pas de faire la route jusqu'au Lac-St-Jean avec un nouveau-né.

Alors il ne reste plus qu'à préparer une journée pour Florane, qui va avoir 5 ans mardi. Déjà, je l'ai convaicue de ne pas acheter de gâteau... On va le faire ensemble toutes les deux à la place. Je lui ai promis qu'on le ferait au chocolat et qu'elle pourrait le décorer avec une de ses figurines de princesse de son choix. Par contre, je ne suis pas encore décidée sur la date, même si le 30 me tente de plus en plus. On verra bien.

Ma prochaine visite avec la sage-femme est mardi. Avec Trista parce que Claudia est en congé jusqu'au 2 janvier. Alors vraisemblablement qu'on va accoucher avec Trista aussi...

À suivre ;)

Lâcher prise

Nous sommes le 23 décembre.
J'ai décidé de lâcher prise.
À la limite, je voudrais qu'il ou qu'elle attende, maintenant.
Qu'on puisse avoir un vrai Noël tous les quatre avant de penser vraiment à accueillir le nouveau bébé.

Qu'il ou qu'elle arrive le 25, tant qu'à y être, pour faire de ce Noël le plus beau Noël, un de ceux dont les enfants se souviendront toute leur vie. Qu'il ou qu'elle arrive le 30, comme sa grande soeur, qui a si souvent dit que le bébé serait son cadeau pour ses 5 ans.

Aujourd'hui, je regarde le calendrier et je me dis qu'au fond, 10 jours, ce n'est pas la mer à boire. D'une façon ou d'une autre, il ou elle finira bien par arriver...

Non ?

Déprime

38 semaines et des poussières.
Coup de déprime.

On dirait que je n'accoucherai jamais.
J'aurais tellement aimé accoucher avant Noël.
À 4 jours du réveillon, je n'y crois plus.
Tant pis.

Je me fais tranquillement à l'idée d'avoir deux enfants nés entre Noël et le jour de l'an.
D'être cloîtrée chez nous pour le temps des Fêtes.

Je pense que c'est ça qui rend la fin aussi pénible: la période de l'année.
Si on était en plein mois de mars, avec rien à faire, nulle part où aller, rien ni personne à célébrer, il me semble que ça serait différent de là, maintenant. C'est dur à expliquer... m'enfin...

Je déprime et je refais les plans pour les célébrations.
On fait Noël ici, on ne fait rien pour le Nouvel An...
Au pire on louera des films, on boira du moût de pomme.
On se couchera à 21h en faisant sûr de débrancher le téléphone.
On fera comme si de rien était.
Voilà.

*soupir*

Bientôt

37 semaines et demi.

Là, toujours là, presqu'en train de compter les secondes qui me séparent de notre rencontre.

C'est de la folie, peut-être, d'avoir hâte aux nuits blanches. Hâte aux montées laiteuses. Hâte aux changements de couches et au lavage qui n'en finira plus. Hâte d'entendre pleurer, de redevenir indispensable l'espace de quelques mois.

De la pure folie, c'est sûr.

Quelques semaines...

Quelques jours...

Quelques heures, peut-être.

Qui sait ?

Toujours là !

10 décembre.
C'est une question de jours, ou presque.
En tous cas il n'en reste pas assez pour les compter en semaines. ;)

Hier j'ai fait de la soupe aux légumes. Une quantité monstre, j'ai même manqué de pot Mason pour la mettre toute en conserve. 7 fois la recette de ma mère: 13 pot de 1 litre et encore assez de reste pour 2 repas. Avec la méga quantité de sauce à spag (j'en ai pour 9 repas encore) et les 5 pâtés au poulet de Francine, on devrait pouvoir tenir le coup pour un petit bout après l'arrivée du bébé.

Aussi bien dire qu'on est prêt.
Presque.

Il ne manque, en fait, que le bac que doit nous remettre la sage-femme jeudi pour l'accouchement à la maison. C'est probablement ma dernière visite demain, compte-tenu qu'après, c'est le temps des Fêtes et que j'ai aucune idée de comment on va pouoir faire tenir un rendez-vous dans tout ce bordel là.

37 semaines vendredi.
Vraiment, ça pourrait être n'importe quand...