Alors que je pensais que la tempête s'était calmée, voilà que ça reprend de plus belle...
Un autre navire qui fait naufrage à cause d'un coup de vent brutal... J'aurais dû le voir venir, semble-t-il. Quand même, je suis triste. J'aurais bien voulu lui dire de s'accrocher, de tenir bon, que quelqu'un, ici, tenait à elle et à son travail formidable. Mais non. Trop tard.
À toi qui se reconnaîtra peut-être, si tu viens lire ces quelques lignes... Merci d'avoir été sur ma route. Je t'aime beaucoup et tu vas me manquer...
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